Par l'auteur des Cicatrices de la nuit, 200 000 lecteurs

« À trente ans, tu te dis que le prélèvement à la source,  ça fait mal au cul, tu te dis que t’as pris du bide et qu’il faut que  tu fasses gaffe, tu te dis que t’es pas fait pour ce boulot, tu te dis  rarement qu’il faut que le thanatopracteur fasse disparaître  les dégâts de la tôle sur le cadavre de ta femme. »

Adam n’a plus qu’un carnet rouge pour retrouver Anouk.
Au fil de ses pages, une liste étrange : celle des gens les moins aimables de Paris. Comme un testament, sa femme, Anouk, stand-uppeuse magnétique disparue brutalement, l’avait préparé sans jamais rien lui en dire. Ce carnet est désormais la seule boussole
d’Adam, qui s’accroche à cet ultime jeu de piste.
Aux côtés de Razack, son meilleur ami, il sillonne Paris, sa ville devenue  étrangère, en quête de réponses. Peut-on vraiment retrouver  l’autre s’il ne reste que des fragments ?

Un roman aussi poignant que lumineux, une exploration  vibrante du deuil, de l’amour, et du rire, qui nous tient debout  quand tout vacille.

À propos de l’auteur

Passé par la Fémis et diplômé de Sciences Po, Alexandre Galien  a vécu dans six pays et exercé de très nombreux métiers. En 2020,  il devient le plus jeune lauréat du prix du Quai des Orfèvres avec  Les Cicatrices de la nuit, premier volet d’une trilogie vendue  à plus de 200 000 exemplaires. Avec La Liste d’Anouk, il explore de nouveaux horizons littéraires.