DESCRIPTION
Depuis un quart de siècle, nous vivons sur le dogme d'une globalisation inéluctable, stade ultime du capitalisme, censée apporter bonheur et prospérité au plus grand nombre. Or, ce monde global débouche sur une crise... globale. Comme il y a un siècle, lorsque la première globalisation s'est effondrée avec la première guerre mondiale. A l'époque, il ne manquait pas de bons esprits, à gauche comme à droite, pour prédire la fin des nations... grâce à l'internationalisation des échanges, des marchés et des capitaux facilitée par les nouvelles technologies et les moyens de communication. L'interdépendance des économies rendait la guerre quasiment impossible, disait-on. On a vu ce qu'il advint de ces prophéties. Cette seconde globalisation, amorcée depuis un quart de siècle, a reproduit les mêmes erreurs. On a poussé les feux du libre échange jusqu'à l'absurde. Comme au XIXe siècle, l'hypertrophie du commerce mondial a débouché sur une financiarisation excessive. Nous avons assisté à une sorte d'alliance contre nature entre les multinationales, la finance internationale et la Chine. Résultat : l'Occident a fait un marché de dupes, car il doit faire face désormais à une concurrence déloyale, à un dumping multiforme. Comment éviter que les mêmes causes ne produisent les mêmes effets et que cette seconde globalisation ne débouche, à son tour, sur une catastrophe mondiale ? Jean-Michel Quatrepoint analyse deux scénarios possibles : aller encore plus loin dans la voie du libre échange ou tenter une déglobalisation progressive, limitée, contrôlée. Cette seconde voie passe par la redéfinition d'un monde multipolaire, où les frontières ne sont pas des obstacles. Pourquoi également ne pas relancer l'idée de la préférence communautaire ? Imposer une harmonisation fiscale au sein de l'Europe ?, etc. Ou bien le monde réussit à accoucher de nouvelles règles du jeu monétaires, fiscales, sociales, environnementales, avec quelques grands espaces régionaux, ou nous allons à la catastrophe, c'est-à-dire à la guerre. Le paradigme dominant veut nous faire croire que le protectionnisme, quel qu'il soit, débouche inéluctablement sur la guerre. Mais pour Jean-Marie Quatrepoint, l'enjeu aujourd'hui est bien plutôt entre la déglobalisation... ou la guerre.Depuis un quart de siècle, nous vivons sur le dogme d'une globalisation inéluctable, stade ultime du capitalisme, censée apporter bonheur et prospérité au plus grand nombre. Or, ce monde global débouche sur une crise... globale. Comme il y a un siècle, lorsque la première globalisation s'est effondrée avec la première guerre mondiale. A l'époque, il ne manquait pas de bons esprits, à gauche comme à droite, pour prédire la fin des nations... grâce à l'internationalisation des échanges, des marchés et des capitaux facilitée par les nouvelles technologies et les moyens de communication. L'interdépendance des économies rendait la guerre quasiment impossible, disait-on. On a vu ce qu'il advint de ces prophéties. Cette seconde globalisation, amorcée depuis un quart de siècle, a reproduit les mêmes erreurs. On a poussé les feux du libre échange jusqu'à l'absurde. Comme au XIXe siècle, l'hypertrophie du commerce mondial a débouché sur une financiarisation excessive. Nous avons assisté à une sorte d'alliance contre nature entre les multinationales, la finance internationale et la Chine. Résultat : l'Occident a fait un marché de dupes, car il doit faire face désormais à une concurrence déloyale, à un dumping multiforme. Comment éviter que les mêmes causes ne produisent les mêmes effets et que cette seconde globalisation ne débouche, à son tour, sur une catastrophe mondiale ? Jean-Michel Quatrepoint analyse deux scénarios possibles : aller encore plus loin dans la voie du libre échange ou tenter une déglobalisation progressive, limitée, contrôlée. Cette seconde voie passe par la redéfinition d'un monde multipolaire, où les frontières ne sont pas des obstacles. Pourquoi également ne pas relancer l'idée de la préférence communautaire ? Imposer une harmonisation fiscale au sein de l'Europe ?, etc. Ou bien le monde réussit à accoucher de nouvelles règles du jeu monétaires, fiscales, sociales, environnementales, avec quelques grands espaces régionaux, ou nous allons à la catastrophe, c'est-à-dire à la guerre. Le paradigme dominant veut nous faire croire que le protectionnisme, quel qu'il soit, débouche inéluctablement sur la guerre. Mais pour Jean-Marie Quatrepoint, l'enjeu aujourd'hui est bien plutôt entre la déglobalisation... ou la guerre.- Dimensions du Livre208 x 800 x 131 cm
- Poids340 g
- ISBN-139782849412572
- Livres neufs
Ils n'ont jamais été lus et sont en parfait état et sans aucune marque.
- Livres d'occasions
- Comme neuf :
Bien qu'il ait pu être lu, votre livre ne comporte aucune marque et à l'aspect d'un livre neuf. La jaquette et la couverture sont en parfait état. Les pages sont ne sont ni tachées, ni marquées, et ne contiennent aucune note.
- Très bon état :
Le livre a été lu mais il est toujours en très bon état. Les éventuelles marques, très peu nombreuses, sont à peine visibles. Les pages sont ne sont pas tachées et ne contiennent aucune note. Le dos ne comporte aucune marque.
- Bon état :
Le livre n'est pas abîmé bien qu'il présente quelques marques d'usure. Aucune page ne manque. La couverture et la jaquette le cas échéant ne sont pas endommagées. Il se peut que le dos soit un peu marqué.
- État correct :
L'intégralité du livre peut être lue malgré la présence possibles de notes en marge ou de passages surlignés. La couverture et toutes les pages sont présentes. Il se peut toutefois que la jaquette manque. Le livre peut venir d'une bibliothèque et porter des tampons.
- Comme neuf :